Bene Guesserit
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 Oeuvre Litéraire

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AuteurMessage
Khanduras
Bouclier du Patriarche
Bouclier du Patriarche
Khanduras


Nombre de messages : 320
Localisation : Meurthe et Moselle
Date d'inscription : 19/02/2006

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MessageSujet: Oeuvre Litéraire   Oeuvre Litéraire EmptyMar 21 Mar à 11:07

Alors voila un texte de moi quand jétais un peu plus jeunes
-Ames sensible ne liser pas
merci Wink

Le soleil étais là qui mourrait dans l'abîme.
L'astre,au fond du brouillard,sans air qui le ranime,se refroidissait,morne et lentement détruit.
On voyait sa rondeur sinistre dans la nuit;et l'on voyait décroître,en silence sombre,ses ulcères de feu sans une lèpre d'ombre.
Eteint!Flambeau soufflé par Dieu!

Ses crevasses montraient encore un peu de feu.
Comme si par les trous du crâne on eût vu l'âme.
Au centre palpitait et rampait une flamme qui par instants léchait les bords extérieurs, et de chaque cratère il sortait des lueurs qui frissonnaient ainsi que de flamboyants glaives,et s'évanouissaient sans bruit comme des rêves.
L'astre étais presque noir.L'archange etais si las qu'il n'avait plus de voix et plus de soufl,hélas!
Et l'astre agonisait sous ses regards farouches.
Il mourrait,il luttait.Avec ses sombres bouches dans lobscurité froide il lançait par moments des flots ardents, des blocs rougis, des monts fumants,des rocs tout écumant de sa clarté premiere;comme si ce géant de vie et de lumiere,englouti par la brume oû tout s'évanouit,n'eût pas voulu mourir sans insulter la nuit et sans cracher sa lave à la face de l'ombre.
Autour de lui de temps et l'espace et le nombre et la forme et le bruit expiraient,en créant l'unité formidable et noire du néant.
Le spectre rien levait sa tête hors du gouffre.
Soudain,du coeur de l'astre,un âpre jet de soufre,pareil à la clameur du mourant éperdu,sortit, brusque,éclatant,spendide,inattendu,et decoupant au loin mille formes funèbres,énorme,illumina,jusqu'au fond des ténèbres,les porches monstrueux de linfini profond.
Les anges que la nuit et l'immensité font apparurent.Satan,égaré,sans haleines,la prunelle éblouie et de cet éclat plein,battit de l'aile,ouvrit les mains,puis tressaillit et cria:-Desespoir!Le voilà qui pâlit!
Et l'archange comprit,pareil au mât qui sombre quil était noyé du deluge de l'ombre;il reploya son aile aux ongles de granit et se tordit les bras.
Et l'astre s'éteignit

FIN
de Khanduras.

P.S:je m'excuse pour toutes les fautes que j'ai pu faire j'ai fait de mon mieux (alors vous moquez pas merci)
Bon jeu
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